[b]

Chapitre 1




J’ai décider de quitté la ville la veille de la rentré, je serais rentré en Fac si je ne m’étais pas enfuis ce jour là. Mes parents, ne sont plus mes parents depuis de nombreuse année, ils sont entièrement entré dans ce system superficiel, je crois même ne as les avoirs vraiment connu. Aujourd’hui je vis seul, il y a quelque année je vivais avec Taylor, qui devait être l’homme de ma vie, mais, un jour il a disparu. Depuis je n’ai plus le goût de vivre, de faire quoi que ce soit, pourtant je n’ai que 18 ans. Il me manque, j’ai un coup de poignard dans le cœur quand je pense à lui, à son visage d’ange.
On n’a jamais su, si il étais parti de lui-même ou enlevé par une organisation qui cherche de nouvelle personne pour forcer es gens a entrer dans cette mentalité. J’ai eu du mal a vivre sans lui. Peut-être même qu’il n’est plus de ce monde.
Ce soir donc, je pensai a lui, a ce qui me restai, ce qui me retenais ici a New York Bay. Et je me suis aperçu que rien, non rien ne me retenait ici. Je vais partir là où les fugitifs comme moi, ceux qui ne veulent plus vivre de cette manière partent. J’avais acheté quelque affaire pour partir dans l’Idaho,mais je n’avait pas tout acheter loin de là et le climat y est quelque peut froid. Je parti de chez moi peu de temps avant le levé du soleil, je voulais quitté la ville le plus tôt possible, et plus tard il y aurait eu des bouchons en ville. Je pris le premier taxi qui vînt.
-Bonjours, Où voulez-vous que je vous dépose ? Me demanda le chauffeur.
-Hum, bonjours, déposez moi au la limite Sud de la ville s’il vous plais, répondis-je
- Heu ce n’est pas un endroit à fréquentez pour une personne comme vous mademoiselle, s’inquiéta le chauffeurs, ce qui m’irrita, je sais où je vais et où je dois allez.
- Ne vous inquiétez pas pour moi, j’ai un moyen de transport qui m’attend là-bas, lui dis-je sèchement.
Arrivé à la sortie de la ville, je cherchai ma voiture parmi les millions de voiture qui étaient là, car dans la ville personne n’avaient sa propre voiture, nous devions prendre les transport en commun. Je me rappelle ou je l’ai mis pour la dernière fois, c’était il y a un mois, quand je suis allé a la recherche de Taylor dans les environs. Bien sûr je ne l’ai pas trouvé.
J’ai retrouvé ma voiture un quart d’heure plus tard, c’était une porche grise avec vitre teinté. Elle était garé à la troisième colonne à la douzième ranger. Je rentrais dans ma voiture, alluma la radio, surtout que je n’allais pas la capté longtemps. Il me fallait une journée pour arrivé a Springfield, la fameuse ville des Simpson, cette série avec des bonhomme jaunes que regardais les personne de il y a 200 ans, c’était la belle ville avant, maintenant les programme comme sa n’existe lus sauf en illégal, maintenant les programme sont le programme pour nous apprendre a mieux vivre, des programme culturelle, le seule programme pour nous divertir est la « People Dreamt », qui est franchement pas terrible.
A dix heures du soir j’arrivâmes a Springfield, cette ville est comme toute les ville du monde depuis le changement de l’humanité, elle est superficielle. Je vais allé dormir a l’autre bout de la ville, à l’ouest, en dix minute j’y suis, la seule chose que j’aime dans notre modernisme, se sont les voiture qui roule vite, et en sécurité, tous sa sans pollutions avec une énergie que seule les constructeurs automobile savent, c’est le secret planétaire. A l’époque les gens utilisait le pétrole, et le charbon ou encore des gaz polluant, comme énergie, je suis bien contente que sa n’existe plus.
Je ne pouvais pas passer par Springfield en elle-même j’ai du faire tout un détour. J’ai donc mi le double de temps, la ville ressemble à toute les villes du monde mais l’extérieur y est étrange, plus sombre avec des maison comme celle qu’avais les gens avant que toutes les ressources naturel s’épuise, on dirait qu’elle est habité, se qui m’étonnai car avec la nouvelle mentalité du monde personne ne veut vivre comme sa, dans des maisons mal éclairé, loin de tout ces magasin, musé ou salle de sport. Plus de gens là-bas voulais vivre or de cette mentalité, normalement les autorité n’autorisais pas ça, la communauté devait être plus différente que je ne le pensai de celle de New York Bay. Les gens aussi devait être différent. Je me garais dans un parking d’un de ces motel d’un autre communauté que celle de la ville. J’entrait dans le motel, il étais comme dans les rare vieux film que l’on pouvait voir au cinéma, il était petit, blanc, avec des meuble rustique en bois, je trouvais ça très original. Un homme y était au comptoir.
-Bonsoir mademoiselle, me salua-t-il.
-Bonsoir, avez-vous une chambre de libre pour moi s’il vous plaie ? Demandais-je
-Oui bien sûr, votre nom et votre prénom s’il vous plaie ? M’interrogea- t-il
-Abigayle Houson. Dis-je
- Tenez les clefs de la chambre 117, il me donna les clefs;
- Et je règle quand ?
- Demain lorsque nous vous apporterons le petit déjeuner. Me répondis- t-il.
Je montais à l’étage et croisai un homme qui parlais avec des gens, il n’avait pas l’aire d’être heureux de séjourné dans ce lieu. Je passais devant lui et entrai dans ma chambre. Je m’affalai sur le lit, cette journée de route. J’observai le plafond, je vis une faille dans le plafond, je me levai et soulevai la plaque, il y avait une feuille de papier, je la pris et la lu :


Vous vous demandez sûrement pourquoi ce lieu existe ? Que les autorité laisse un lieu comme sa, ne le détruise pas ? Parce que ce lieu est un lieu touristique, bien sûr personne veut y venir, mais pour nous, les fugitifs, ce lieu est plus important, il nous permet de trouvé des gens comme vous qui veulent vivre a notre manière.


Je me rendis alors comptent que je ne savait pas où était ce lieu que quelque personne parlaient, dont ma meilleur amie mais celle-ci c’est jointe à la belle mentalité général et ce n’était plus ma meilleure amies, mais je ne savait pas du tout ou c’était juste que c’était dans cette direction, je continua la liste.

Alors voilà voilà comment accéder a notre communauté libre, d’abords, quand tu aura quitté la ville et que u y sera a deux cent cinquante kilomètre tu enlèvera tes puce, car notre mode de vie est franchement illégal, tu sort de la ville par l’ouest ensuite t continue jusqu’à apercevoir des montagne, prend tes provision il n’y a plus rien ensuite.


Springfield devait être la seule ville qui n’était pas au bord de la ville, et oui, qui irai vivre dans les terres, la mer c’est beaucoup plus amusant, et agréable pour travailler. Dans les terres ce trouve les gens courageuse qui travaille dans les fermes, les gens d’un cinquantaine d’année.


Prend donc tout ce qui de faut, arrivé a la montagne tu devra, allé au sommet de la plus grande montagne. Ensuite tu regarde devant toi, tu vera une montagne juste en face, tu y va, de l’autre côté il y a une plaine voila tu y es, personne a par notre communauté et vous vienne jeter un coup d’œil, même pour allé a la New Californie, enfin, tu y est presque il faut que tu marche jusqu’à la forêt en montant ver le nord. Cette foret en petite, après cette foret il y a notre communauté, c’est une grand pleine entouré de Montagne et de foret.


Voilà qui m’éclairci les idée, à cette instant je savais où je devrais allé. C’était rassurant, mais en même temps sa me fit un peu peurs, car je devais faire beaucoup d’effort, traverser deux montagne ainsi que la forêt à pieds, mais c‘Est-ce que je devait accomplir si je voulait vivre la vrai vie, avec de vrai personne qui ont de la Personnalité. Le lendemain il fallait que j’aille acheter des provisions et des équipements, tous e dont j’avais besoin pour accomplir ce voyage. Je m’endormis en rêvant de la nouvelle vie que j’allais avoir.

Chapitre 2




Le lendemain je me réveilla tôt, c’était chaque fois le cas quand je ne dormais pas dans lieu où je n’avais pas l’habitude de séjourner. J’ouvris la fenêtre pour m’aéré.
-Encore une belle journée de soleil, dis-je en contemplant le ciel bleu rayonnant.
Le soleil n’allait pas vraiment m’aidé si je devait accomplir une dur journée. Le petit déjeuner arriva à huit heure trente, ce fus un plateau avec un capuccino, un croissant et un jus d’orange. J’engloutis mon petit déjeuner rapidement, me lava et enfila une tenu pratique, jean, T-shirt et tennis. Ce n’était pas très élégant mais au oins c’était pratique. Je sortie pour payer la note de la chambre et j’aperçu ‘homme d’hier soir entrain de parlé avec l’homme du comptoir. L’homme disait il y avait encore du monde partit des villes pour aller vivre à l’aire libre, que c’est personne cherchait la vrai vis.
-Ha ha, il cherche a vrai vie, il vont souffrir plus que autre chose, travailler sans le moindre confort, dit l’homme.
- Oui, répliqua l’homme du comptoir. Je ne sait pas pourquoi les autorités laisse cela comme ça.
- Je, fais partie de autorité, nous ne laissons pas sa comme ça, nous cherchons mais n trouvons pas, et puis, très peu de gens savent cela, c’est pourquoi ça ne nuis pas à notre réputation. S’il vous plaie ne parler de çà à personne. On veut tous la même chose, que la terre soit classer première planète.
-D’accord, je ne vois, de toute manière aucun intérêt à raconter cela.
Je me rendis compte qu’il ne me vit pas arrivé, ils se retournâmes alors. Heureusement que ça n’était pas l’homme au téléphone qui était dans ma chambre, il aurait sûrement découvert le mot, et détruit la communauté.
-Bonjour, déclarai-je
-Bonjour, répondirent-ils
-Je viens régler la note de la chambre.
-Ok, cela fera 100$, c’est plus cher que ailleurs car nous somme une zone touristique.
- Oui je m’en était aperçu ( avec l’aide de la lettre bien évidement mais je n’allais pas le leur révéler )
Je payai et partis en direction de la ville, il fallait que je trouve un magasin pour trouver des équipements de montagnes. J’entrais dans la ville et vis des personne travailler, j’aperçu quelque temps après un magasin de sport, je devrait trouver dedans ce qui me conviens, et peut-être qu’il y aurait de la nourriture de randonné. J’entra dans le magasin et vis une dame d’un quarantaine d’année à la tête plutôt ronde, avec une touffe de cheveux frisé forcément il n’y avait aucun jeune qui y travaillait. Même pour gagner un peu d’argent de poches personne était assez courageux et dévoué pour travailler. Je travaillait a mis temps dans une animalerie, sa me permettait de prendre l’aire et us de me divertir ainsi que de payer mon lycée. Mais cela avait perdu toute importance le jour de la disparition de Taylor, mon Taylor.
-Bonjour, me salua la femme
-Bonjours, vous avez du matériel de randonné en montagne ?
-Oui bien sur mais, faite attention il y a du monde qui disparaît ces dernier temps dans le coin.
- Oh ne vous inquiété pas je pars pour l’Alaska, lui répondis-je.
Autant lui donner une fausse piste, je n’aime pas dire ou je vais, par paranoïa de peur que l’on me suivent, mais la il y avait une raison de me suivre.
-Ils sont au fond à droite.
-Merci
J’alla au fond du magasin et pris un sac de couchage, des chaussure de marche, un parka, de la nourriture de camping, une gourde d’eau, vêtement, et autre chose importante. J’arrivai a la caisse et on me regardais bizarre.
-Vous avez choisi ? Me demanda la femme
-Apparemment Oui, dis-je exaspéré
-J’espère vraiment que vous n’allez pas randonnée pas ici, c’est devenu dangereux.
- Oui, je vous ai déjà dit que je partait pour l’Alaska.
Genre ce sont les gens qui disparaisse, ce sont eux qui parte consciemment. Mais certaine personne ne peuvent pas comprendre ça. Ils sont entièrement ancrée dans le system de cette terre.
-Cela fera 73$
- Heu. Ok, dis-je en payant et partant aussitôt.
Je quittai la ville j’avais hâte de sortir de commencer ma nouvelle vie, où plutôt ma vie, car depuis quelque mois je ne vivais plus. Je fis un détour et partis pas l’ouest. Je quitta la ville, et la personne qui a écrit la lettre avait raison, il n’y avait rien, a par des champs, la route étais longue, il n’y avait rien a voir et je ne captait plus la radio. L’avantage était que je pouvais roulé vraiment vite car il y avait personne. Arriver à cents kilomètre je vis une forêt et il fallais encore une ou deux heure de marche pour arriver au pieds des montagne et je ne voulais pas que l’on repère ma voiture. J’entra donc dans la forêt au plus profond que je pus, jusqu’à ne plus pouvoir avancer. J’ai bien aimé roulé dans la forêt, c’est plutôt marrant. Par contre elle est dans un salle état maintenant ma voiture, mais elle me servira plus, enfin je pense. Je ne sais pas quel sont les moyen de transport là-bas, et puis je verrai bien. Ma voiture ferra une bonne maison au écureuil du coin et autres animal de la forêt.
Je descendis de la voiture, deux longue heure de marche se dessinai devant moi et je devrais traverser la forêt, ce qui serais plus dur que marcher en ligne droite. Mais avant de marcher je me souvins q’il fallait que j’enlève cette fichu puce, elle était sous forme de bracelet au pied, pas très original et il y avait un bouton pour l’enlever en cas d’urgence. J’appuyai sur le bouton, et le bracelet ce détacha, je le balança sur une pierre pour bien l’abîmé.
-Enfin je n’ai plus ce machin, m’exclamai-je.
Mais si il m’arrivais quelque chose ? Comment allai-je faire ? Personne ne saurais et donc personne viendrait me chercher. Je n’était pas très fière c’était la première fois que je me trouvais en pleine nature seule, et je ne m’étais pas renseigner sur ce qu ’il y avait en dehors de la ville, j’avais peur. C’était comme lorsque qu’on nage dans la mer et on sens qu’il y a plein de chose, on panique car on se sait pas ce qu’il y a en dessous. Mais il fallait que je passe au dessus de sa si je voulais changer de vi. Je sortit la boussole de mon sac à dos, je la dirigea vers l’ouest, vers les montagne. Je marchais quand je vis un petit chemin, je me dirigea dessus, mais il se termina au bout de un kilomètre. Je sortis donc du chemin a grand regret. Au bout d’un quart d’heure l’air commençais à se rafraîchir. Enfin de compte sa n’allait pas être une belle journée de soleil chauffant. Je me mis donc à courir et je me pris un branche et tomba par terre.
-Ah ! Je suis trop doué, franchement, j’espère que sa va s’amélioré et que je ne vais pas avoir d’autre péripéties de ce genre.
Je sentis une douleur à la tête, je mis ma main dessus et senti de la chaleur, je regarda ma main et vis un liquide rouge.
-En plus je saigne, c’est bien ma vaine.
Je m’assis sur une grosse pierre, mis mon sac sur mes genoux et l’ouvrit. Me connaissant j’avais acheter une boite de premier secours. Je nettoyai ma plaie et mis un pansement. J’avais l’air vraiment fine.
Je repris ma marche et j’ai entendu des bruits, je n’avais pas encore croiser d’animal, je regardais autours de moi. Au début je ne vis rien à par des arbres et la cascade autour de moi, puis j’aperçu quelque chose

alors je n'ai lu que le chapitre 1 &&. le prologue pcq je n'ai pas bcp de tps. avt que je rentre dans les détails, il faut que tu détermines quel temps tu veux utiliser? présent ou passé?
si tu choisis le présent il faut que tu utilises uniquement le présent, le passé composé &&. éventuellement le futur. si tu choisis le passé tu peux utiliser l'imparfait, le passé simple ou même le plus que parfait. Mais il faut te fixer et t'y tenir. Pour voir si les temps coordonnent, tu peux relire à voix haute ça aide!
Ensuite j'ai relevé quelques fautes. Mais pas toutes car certaines doivent etre des fautes de frappe.

dans le prologue: les gens pouvais réellement penser = pouvaient
fais attention aux répétitions en particulier de "mais". tu px le remplacer par or, néanmoins, pourtant, toutefois, en revanche, inversement, au contraire...

Chapitre1 : jai décider de quitté = décidé de quitter
ils sont entièrement entré = entrés
les avoirs vmt connu = les avoir vmt connus
mais je n'avait pas tout acheter = n'avais pas tout acheté
je parti = partis
je voulais quitté = quitter
les millions de voiture = voitures
la douzième ranger = rangée
musé = musée
le passage: "il était comme dans les rares vieux films" après tu répètes était... fait attention utilise d'autre verbe. du genre il ressemblait à ceux des rares vieux films... (ce n'ets qu'un exemple!)
de séjourné =séjourner

voilà jai corrigé les erreurs au fil du texte. je te le répète je n'ai pas tout fait. mais c'est une bonne idée de parler d futur &&. tu as beaucoup d'imagination. courage! fait attention cependant à l fin des verbes tu as tendances à te tromper entre é &&. er... remplace par les verbes mordre, voir, boire etc...
je lirai le chap 2 plus tard =) mais jaime bien. ce ne sont as des critiques simplement de l'aide que je te donne

Merci beaucoup de ton aide,
Ouai j'i trop de mal avec les temsp, j'éssai de pas mettre du présent.
Ta raison fodrai ke je lise a voix haute sa maidera.
Merci de ton aide.

Super !!
Enfin tu connais déjà mon avis, je t'aie déjà dit que les tps ça beugé ce qui arrive très souvent...
Donc juste pour t'encourager et espérer que l'inspiration ne te manquera pas !
Envie d'en savoir plus !
J'ai lut ton Chapitre deux aussi, captivant ! "Mais qu'a-t-elle vu ??" =)
bsx

Lorsque je me retourna je vis une jeune fille de ma taille, 1, 67 mètres, elle devait donc avoir mon âge me dis-je. Elle ne me ressemblais pas du tout elle était blonde alors que j’ai les cheveux châtain claire, elle avait les cheveu jusqu’aux épaules, notre deuxième points commun, son visage était plutôt fin et pâle, et les yeux bleu, alors que les mien sont plutôt marron verts, une drôle de couleur et ma peau est plutôt coloré pas mes journée sur la plage. On se regarda pendant un moment, étonné par notre rencontre. Je me méfiais d’elle, je ne la connaissais pas, ce fut donc normal. Mais comme elle étais autant effrayer que moi je sus que ce n’était pas quelque un des autorité. Elle décrocha un mots la première.
- Coucou je m’appelle Emmy, se présenta-t-elle
- Et moi Abigayle, lui répondis-je
- Mm, enchanté Abigayle, c’est un jolie prénom
-Merci, appelle moi Abbie
Maintenant que nous nous étions parler, nous nous sentions mieu. Puis je vis Emmy décrocher un petit sourire, puis moi aussi je commençai à sourire. Elle avait une tête de petite fille, comment pourrait elle être une ennemis, et elle paraissait si jeune. Mais qui pouvait elle bien être ? Une jeune jolie fille ici ? C’était inconcevable
-Que fait tu ici ? Peu de gens vienne avec des équipement de rando. Il préfère le confort la fête, bla bla bla, me demanda-t-elle
-Ba je ne sait pas si je peu te le dire, ce n’est pas quelque chose de très bien par rapport à la société.
-Tu sais je ne suis pas non plus en bon rapport avec la société.
-Ouai, sinon tu ne serais pas là.
Les gens en bon rapport avec la société aimait la société. Ils restaient donc en ville pour faire ce qu’il devait faire, travailler ou faire la fête.
- Prouve moi que tu n’aime pas notre société. Lui demandai-je, peut-être avec un peu trop de violence dans le ton.
-Ok toi aussi montre moi.
Je soulevai mon pantalon et lui montrai que je n’avais plus mon bracelet. Je la regardai et vis que elle non plus n’en avais pas. Un grand soulagement me parcouru. Elle n’était pas mon ennemie juste mon amie. Nous nous regardâmes dans les yeux et la je vis ses yeux s’illuminé, les miens devait faire de même.
-Tu peux me dire maintenant, j’ai fait ce que tu ma demander.
-Ok, je tiens ma parole.
Cependant j’hésita quand même un moment. Et si c’était une ruse ? De toute manière si sa en étais, cette fille ne me laissera pas partir comme sa. Je risqua le cou et lui dévoilai où j’avais l’intension d’allé.
- Je part pour la communauté libre.
-Ah New Liberty. Je suis arrivé pile au bon moment, moi aussi je vais là-bas, enfin , je vis là-bas.
Tous mon stresse s’évanouie, à cette instant je n’avais plus aucun doutes, je savais juste que j’aurais une compagne pour ce voyage.
-Oh super, on va pouvoir y allé ensemble, dis-je alors enjoué de ce projet.
-Oui exactement, s’écria-t-elle
-En plus j’avais un peu peur de faire se trajet seule, avec la chance que j’ai un Sphinx serait venu me croquer, plaisantai-je
-On est deux dans ce cas, elle rigola avec moi.
On s’enlaça, heureuse toutes les deux d’avoir de la compagnie. On marcha toujours dans la même direction et nous discutions.
-Et tu vit depuis toujours à … heu New Liberty ?
-Non quand j’étais toute petite mes parents on décidé de changer de vie, je devais avoir cinq ans. J’étais jeune et ne compris pas tout de suite leur décision, mais avec le temps sa venais.
-Et là, qu’elle age a tu ?
-Dix-huit dans deux mois et cinq jours,
-Oh, moi aussi j’ai dix huit ans, dis-je gaiement.
Nous nous posâmes un tas de question sur l’une et l’autre. Des questions avec une importance et pour la plus part elle était insignifiante. A un moment nous vîmes que nous étions au pied de la montagne la plus haute.
-Enfin on y est, dis-je
-Oui, mais moi ce n’est pas la première fois me répondit-elle avec lassitude.
-Ouai c’est vrai. C’est long ensuite ? Demandai-je
-A pieds très mais on a un moyen naturel pour nous déplacer de la montagne à la forêt.
-Et c’est quoi ?
-Des chevaux, tu connais au moins ? Plein de personne en était passionné, et ils sont écrit partout dans les bouquin d’histoire.
-A oui, j’en ai déjà entendus parlé, mais c’est pas dangereux ?
- Dangereux ?! On aura tout entendus, s’exaspéra-t- elle
-Quoi ?! Ils sont grands et on des sabots de pierre.
- Pas de pierre, plutôt de sabot, je ne sais pas comment sa s’appelle. Donc tu ne sait pas les monter, tu voudra quand même allée sur un cheval toute seule.
-Oui sa ira sûrement plus vite et puis je pourrais vite apprendre, j’aime les animaux, je travaillais dans une animalerie, ok on ne vendait pas de chevaux.
-On verra bien, en attendant on a deux montagne à traverser a pieds si on ne trouve pas de chevaux, et ils sont seulement sur la deuxième montagne face Ouest.
-Oui, je l’ai remarquer tout à l’heure des que je te l’ai pas demandé, tu n’as pas d’affaire ?
-Heu bah, non, il me faut deux ou trois jours pour allée à la communauté, mais un peu plus haut dans la montagne y a une cabane d’équipement, donc je le laisse là-bas et je viens ici jusqu’à où je tes trouvée.
On commença à monter sur la montagne et me rendis compte que je n’avais jamais fait autant d’effort j’ai trouver sa ridicule car je me trouvais faible, et je devrait en faire beaucoup plus. La vue était vraiment belle. Avec Emmy on parla un peu de tout, elle me demanda sans arrêt comment j’allais faire pour finir ce voyage si au bout, d’après elle,une heure j‘étais à bout de souffle. Au moins cette expédition m’avait sans doutes renforcé quelque muscle.
-Et dis moi pourquoi à tu décider de changer de vie ?
-Je pense que c’est pour la même raison que tes parents, j’en ai marre de cette mentalité. Avant j’avais quelque un… cette pensé me faisait un point au cœur et je ne me sentais pas bien, j’avais le cœur qui battait a cent à l’heure. Mais il n’ai plus là aujourd’hui.
Elle me dévisagea, sachant qu’elle n’aurait pas plus d’information elle me dit:
- Je suis désolé.
- Oh mais tu n’as pas à te sentir coupable,
A cette instant elle me pris dans les bras, j’étais vraiment contente de l’avoir rencontrer, en quelque heures on était devenu amie. . On avait fait connaissance et je n’avait jamais rencontré une personne comme elle, Emmy était vraiment formidable, elle était gentil sans être superficielle. Cela était sûrement dut à son éducation.
Je me retourna en direction de la ville et je vis que le soleil commençais à se coucher, la vue était vraiment belle a cette instant. Les immeuble n’était plus que de petit bâtonnet noir, avec quelque reflet rougeâtre du au soleil.
- On devrai mieux se dépêcher on atteindra pas le cabanon avant une heure au moins. Ça fait combien de temps que l’on marche ?
- Heu, depuis ma voiture sa doit faire cinq heure.
- Quoi ?! Cinq heure ?
- Oui, pourquoi ?
- Ba j’ai du te rencontrer ce matin vers midi, treize heure, et on n’a pas manger, on a même pas ressentit la moindre faim.
-Maintenant que tu le dis je commence à avoir faim. Merci beaucoup.
- On devrait s’arrêté et manger, on reprendra la marche toute à l’heure.
- Mais il fera nuits,
- Et alors ? Je connais la montagne depuis toutes petite, répliqua Emmy. Et puis tu n’a pas du manger depuis au moins huit heure ce matin, tout comme moi.
- D’accords, et c’est moi qui régale bien sur…
-Tu vois un sac ou autres chose avec moi, je vais pas manger de l’herbe.
-Oh je plaisante, je vais pas te laisser mourir de faim. On ne t’apprend pas à dire des blagues où tu vie ? Sa ne me gène pas du tout de te nourrir. Allé on s’assoit. Et désoler je n’ai pas de tapis de pique-nique, déclarai-je en rigolant.
-Sa ne fait rien je ferai sans, et elle se joignit à mes rires.
On s’assit et mangeait un repas que je n’avais jamais manger avant, et je n’ai pas trop aimé. De la nourriture de camping, c’était des grillades, on a donc dut allumé un feu et griller cela. J’avais aussi du pain et des chips. Ce n’était pas un repas juste de fortune, mais comme j’étais en bon compagnie j’ai apprécier se repas. Cependant j’avais froid, il faisait nuits, heureusement qu’il y avait eu le feu de camps. Au bout de une demi heure on avait finit de manger et nous repartîmes en route pour le cabanon.
-N’oublie pas de me guider, lui dis-je. Moi je n’ai pas grandi ici.
-Ne t’inquiète pas, me rassura-t-elle. Et ce n’est pas si compliquer, dans une heure on y ai, et puis il y aurai moins d’arbre, plus des buissons. Tu auras donc moins d’obstacles.
-Ok
Si elle croyait que sa me rassurai, elle se mettais les doigts dans l’ œil. Pendant tout le trajet je ne vis absolument rien mis à part quelque ombre. On ne parla pas, j’étais trop concentré a éviter les buisson et le peu d’arbre.
-Sa y est, déclara Emmy
Je soupirai de joie, enfin nous atteignions notre aire de repos sauvage. Je levai la tête et vie un petit cabanon, il y avait une petite fenêtre et on voyait un lueur rougeâtre
-Es normal qu’il y est de la lumière ? Il y a quelque un dedans ?
- Non, ce n’est pas normal, et logiquement il y a personne.
On avança jusqu’à être devant la porte. Je n’ai pas apprécier la réponse de Emma. J’étais pas rassurer du tout, on ne sais jamais qui sa peu être. C’ était peut-être quelque un qui nous voulais du mal. Nous étions donc devant la porte, et mon cœur battait la chamade. Je n’entendais plus rien que le son de mon cœur dans mes oreilles. Emmy était devant moi, elle avait l’air beaucoup moins effrayé que moi. Elle ouvra la porte.

jai pris le tps de relire.. jai pas mis toutes les fautes en gras car certaines doivent etre des fautes de frappe par contre un rappel... les verbes en -er font -ai à la première personne du singulier au passé simple!!! méfie toi tu as mis -a...
Sinon ton histoire est vraiment sympa!
la flemme de lire le chapitre 3 ce soir!
bisous la miss =)

Merci beaucoup de ces correction, oui y a des faute de frappe, mais très peu, c'est surtout moi ^^'.
Merci encore.
Faudrait que je relise pour corriger toute sorte de fautes, mais un autres jours, parce que la je doit réviseer le brevet blanc.
Bises

-Oh c’est toi ! S’écria-t-elle, et elle lui sauta au cou. Tu nous fait peur.
Son cœur résonnait dans tout le cabanon à l’unisson du mien, mon pou était tellement rapide et fort.
-Désolé, dit-il, il sembait perplexe.
C’était le petit ami d’Emmy, cela se voyait dans la façon de se regarder, d’être proche. Il avait du se faire du souci pour elle et donc était venu l’attendre, surtout qu’on était arrivé tard, il avait du beaucoup s’inquiété. Il faisait la même taille que moi et Emmy, il était brun. Cela tranchait beaucoup avec les cheveux d’Emmy qui eux, étaient blond. Il avait les yeux marron, le visage plutôt rude.
- Ce n’ai rien. Abbie, je te présente Adam. Adam je te présente Abbie.
-Enchanté, dis-je ne sachant pas quoi répondre.
-Moi de même, dit-il
- J’ai rencontré Abbie dans la forêt à une centaine de kilomètre de la ville. Elle était en chemin pour New Liberty.
- A d’accord, tu a vérifier qu’elle avais enlevé son bracelet ?
- Oh non, mince
- Emmy, fait plus attention !
- Heu, je l’ai enlever, je les coupais-je dans leur conversation,
Ou plutôt dispute. Mais je ne voulais pas être au centre de leur débat. Et puis cela ne servait a rien de se disputer, je n’ai pas l’habitude de ça, et je n’aime pas sa. En ville personne ne se dispute c’est « Peace and Love ».
- Quand a tu fait ? me demanda Adam
- Je l’ai balançé sur un cailloux.
- Ouai, y avait mieu comme solution, me dit-il avec une petite moue.
-Lequel ? demandai-je
-Tu aurai pu l’accrocher a un animal que tu aurai croisé.
-Il fallait déjà que je l’attrape, et ce n’est pas si évident.
-Pas évident Pour toi.
-Non, loin de là.
C’est vrai que pour eux devait facilement y arrivé, s’ils montaient sur des cheveaux sauvage ils arriveraient à attraper un petit animal.
On passa la nuit dans le cabanon. J’ai eu du mal à dormir, premièrement parce que je ne connaissais pas cette endroit, et puis deuxièmement par ce que j’avais acheter un mauvais sac de couchage, ils étaits très fin, je sentais le sol à travers.
Ce fus le soleil qui me réveilla, je découvris alors l’interieur du cabanon, il était petit certe, en bois. Il y avait un petit lit fait d‘un matelas mis sur une palet en bois; une cuisinière qui fonctionnait au feu, elle était très jolie; et une armoire avec le nescéssaire pour vivre, elle était imposante. Emmy et Adam avait dormir dans le lit. Ce matin là Emmy cuisinai des œuf brouillé, je n’en raffolais pas mais c’était sûrement meilleur que de manger des brochettes au petit déjeuner.
-Bonjour Abbie, me salua Emmy
- Salut, bien dormit ? Lui demandai-je.
- Oui, tu as faim ?
Cela se voyait car elle était toute contente, joyeuse et chantonnante. Bref on avait envi de la prendre dans les bras tellement qu’elle rayonnait.
-Bien sur, on a peut-etre oublié de manger pendant cinq heure hier, mais là j’ai très faim.
A ce moment mon vente gargouilla et nous rigolâmes.
- Ha ha, ouai. Je ne sait pas comment on fait pour tenir cinq heure sans manger.
- Quoi ?! Cinq sans manger ? S’écria Adam
- Nan plus je dirai, plus ou moins dix, dis-je, on a fait cinq heure de marche, mais je n’avait pas manger du tout, j’ai pris mon petit déjeuner à huit heure et demi et mon repas à sept heure du soir.
-Ouai, ta raison j’avai oublier sa. J’ai du faire a peu pres la même chose.
- Hey les filles c’est pas raisonnable du tout ça.
- On en ai pas morte, n’en fait pas tout un drame non plus, on a même pas eu faim et se n’était pas non raisonnable pour Abbie de venir.
-Nan du tout.
-Si vous le dites.
Sur ce, je me leva et alla manger les œufs brouiller, je les ai aprécer à leur juste valeur. Emmy cuisine vraiment bien.
-C’est très bon, lui dis-je
-Merci, mais c’est pas très dur.
-Peut-être mais les miens étaient déguelasse.
-C’est par ce que se sont pas de bon œufs, il sont naturel les notre.
-En ville ils sont artificielle, intervint Adam
-Tout y est, précisa Emmy.
Je me souvins comment tout était superficielle, sans réelle vie. J’avais hâte de découvrir comment ils vivaient. Vois si leur monde n’était pas superficielle, mais réel. Je pose alors la première question qui me vint à l’esprit.
-Dans combien de temps on reprend la route ?
- Dans pas longtemps, quand on est pres, me répondis Emmy.
Un quart d’heure on était en route, la vue était magnifique. On avançais plus vite qu’avec Emmy, nous étions tous presser d’arriver. Je me dmandais à quoi pouvait bien ressembler la communauté. Je l’imaginais surtout ancienne. Mais j’esperais qu’elle ne ressemblerai pas à ça. J’avais peut-être quitter la ville, mais je ne voulait pas arriver dans un village du quinzième siècle et vivre à la dur. Ce n’était pas pour moi, la ferme, les cochons, vaches et physiquement je n’était pas forte donc je n’aurait jamais pu travailler dans les champs.
La journée fut longue et éprouvante, ce jour là on a manger à des heures régulière. En fin d’après midi nous étions arrivé au sommet de la deuxième montagne. La vue était très belle on pouvait apercevoir le npied de la montagne et il avait quelques chevaux dans la plaine. A ce moment, avec cette vue, je ne regrettais pas du tout d’être partis. Je regardais vers la droites on aurait dis une grande route vert, elle montais vers le nord, on y voyait une bande plus foncé de vert. Cela devait être le début de la forêt, mais c’était bien à une journée de marche.
Sur cette montagne il n’y avait pas de cabanon. Je demanda alors à Emmy et Adam où nous allions dormir.
-Heu, j’ai une question. Où on va-t-on dormir ?
-Ba ici, en plus on a de la chance aujourd’hui il ne fais pas très froids.
-Ouaiff
-De toute manière tu ne t’atten pas a dormir dans une cabane le jours de ton départ ? Me dis Emmy.
-Non ta raison, et l’herbe sera surement plus confortable que le sol de la cabane.
-Oh arrête de te plaindre, me rouspéta Adam en me faisant une frappe dans le dos.
Nous mangeâmes ensuite, pareil que notre dîner de la veille avec Emmy. On passa la nuits à ce raconter des histoires mais malheureusement je n’en avais aucune, j’écoutais donc leur Histoires sur eux ou autre, et lorsqu’ils me posaient des question j’y répondais. Il y a quelque histoire que je n’écoutais pas vraiment, mais il y en a une qui ma plue, celle sur l’arrivé de Adam.
-Quand je suis arrivé à New Liberty, je devait avoir dix ans, j’avais trouvé ça vraiment fabuleux. Toutes ces maisons, c’était très différent de la ville, et je me croyais dans un film.
Je m’imagina alors encore mon arrivé, pour la vingtième fois ou plus. Je me voyais descendre du cheval, traverser la courte forêt, que je poussai les buissons et découvrit la communauté.
J’avais aussi accroché à l’histoire de Emmy racontant sa première sortie hors de la communauté
- C’était une sortie avec l’école, j’avais sept ans environ, et je sortais pour la première fois, je découvrais un autres monde pour dire. Le paysage y étais différent, sauvage. Il étais comme celui en Bas de la montagne.
Je tournai ma tête alors à ce moment vers le pieds de la montagne et la pleine.
-Je sentis plein d’émotions me traverser, la joie, la peur, continua-t-elle.
Je me rappela alors ce que j’avais ressentie quand je marchais sur la montagne, et me retournai pour apercevoir le paysage, je n’avait pas réussi à définir ce que je ressentais, parce que je n’avais jamais ressentis ça auparavant.
Nous nous couchâmes lorsqu’il n’y avait plus rien à raconter d’intéressant. Je m’endormis en repensant à tous ce qu’ils avaient dis, en me visionnant le paysage que j’avais vus aujourd’hui, et comme chaque nuit en imaginant les paysages que je verrais plus tard.
Comme le jours dernier, ce fus le soleil qui me réveilla. Mais ce jour là, le réveille était différent, je me serais cru dans un rêve. Le regardais et vis de l’herbe et des buisson. L’herbe était mouillée, c’étais la rosée su matin, je trouvais sa très jolie. Je me sentais bizarre comme si on m’avait abandonnée en pleine nature, sauf que j’aperçu Emmy et Adam a côté, ils étaient enlacer.
Je m’étirais longuement, jusqu’à retrouver tout mes membres. Je conta plais le ciel pendant quelque minutes, il y avait peu de nuages, c’étais clair. Je me levai pour allée au petit coins derrière un buisson. Quand je revins Adam et Emmy étaient là, debout.
-Salut Abbie, me salua Adam
-Coucou Abbie, me salua de même Emmy
-Coucou, tu es en forme aujourd’hui,
-Normal, c’est notre dernier jour normalement, et on va monté à cheval.
-J’espère aussi que c’est notre dernier jour.
-J’espère que vous n’avez pas faim par ce que l’on va pas manger pour le déjeuner.
Emmy et moi le regardâmes un moment, puis nous nous regardâmes et rigolâmes. Hey ! On avait vécu dix sans manger. Adam en se souvenant de cette péripétie nous dit :
- Ha oui c’est vrai. Aller on ramasse nos affaire.
C’est se que nous fîmes, nous partîmes lorsque nous avions eu fini de ramassé nos sac de couchage et notre reste d’équipement de survie en pleine nature.

j'ai corrigé. je sais qu'à force je dois faire prof de rançais mais cen'est pas on but. ton histoire sort de l'ordinaire &&.je veux vraiment qu'elle soit super.
dc quelques conseils.. déjà, évite de parler comm dansa vie.. il faut bien te dire que dans la vie u dis: bah, beh, ok etc.. mais dans le langage soutenu, ce n'es pas uilisé!
=)
biz'ous. la flemm de lire le 4.. je le ferai le wek end prochain!!

Merci beaucoup de ta critique, mais t'es pas obliger de faire un truk aussi long ^^'
Je sais pas si tu a vu, mais j'ai poster un autre texte.

Oui la onomatopé c'es pa tres français mais j'aime sa en ce momen, mai c'es juste dan le dialogue.
en fait ey a des passage que je veu un peu soutenu ( mai j'ai trp de mal avec mon language ) et dotre normal.
C'est Abbie qui s'exprime, je veu que sa soit ses propo mo.

Ah ok désolée. Non mais c'est juste des idées de ma part!!! j'te dispas de fare cm ça. C'est on écrit, c'est toi qui sait cmt tu le veux !! =) jvais aller lire l'autre texte

Ok merci
J'ai pa pris sa pour un reproche tkt..

-Oh c’est toi ! S’écria-t-elle, et elle lui sauta au cou. Tu nous fait peur.
Son cœur résonnait dans tout le cabanon à l’unisson du mien, mon pou était tellement rapide et fort.
-Désolé, dit-il, il sembait perplexe.
C’était le petit ami d’Emmy, cela se voyait dans la façon de se regarder, d’être proche. Il avait du se faire du souci pour elle et donc était venu l’attendre, surtout qu’on était arrivé tard, il avait du beaucoup s’inquiété. Il faisait la même taille que moi et Emmy, il était brun. Cela tranchait beaucoup avec les cheveux d’Emmy qui eux, étaient blond. Il avait les yeux marron, le visage plutôt rude.
- Ce n’ai rien. Abbie, je te présente Adam. Adam je te présente Abbie.
-Enchanté, dis-je ne sachant pas quoi répondre.
-Moi de même, dit-il
- J’ai rencontré Abbie dans la forêt à une centaine de kilomètre de la ville. Elle était en chemin pour New Liberty.
- A d’accord, tu a vérifier qu’elle avais enlevé son bracelet ?
- Oh non, mince
- Emmy, fait plus attention !
- Heu, je l’ai enlever, je les coupais-je dans leur conversation,
Ou plutôt dans leur dispute, car je ne voulais pas être au centre de leur débat. Et puis cela ne servait a rien de se disputer, je n’avais pas l’habitude de ça, et je n’aimais pas sa. En ville personne ne se disputait , c‘était « Peace and Love my friend ».
- Quand a tu fait ? me demanda Adam sur un ton sec mais à la fois surpris.
- Je l’ai balançé sur un cailloux, dis-je simplement.
- Ouai, y avait mieu comme solution, me dit-il avec une petite moue.
-Lequel ? demandai-je intrigué.
-Tu aurai pu l’accrocher a un animal que tu aurai croisé par exemple.
-Il fallait déjà que je l’attrape, et ce n’est pas si évident, dis-je bêtement.
-Pas évident pour toi, corrigea-t-il.
-Non, loin de là.
C’est vrai que eux devait facilement y arrivé, s’ils montaient sur des cheveaux sauvage ils arriveraient à attraper un petit animal.
- Ok, bon, les amis d’Emmy sont mes amis donc, tu es l’une de mes amie désormais. Et je ne pense pas que tu es quelque un qui nous veut du mal, ta plutôt un gueule d’ange.
- Merci de m’accepté aussi facilement.
On passa la nuit dans le cabanon. J’ai eu du mal à dormir, premièrement parce que je ne connaissais pas cette endroit, et puis deuxièmement par ce que j’avais acheter un mauvais sac de couchage, ils étaits très fin, je sentais le sol à travers.
Ce fus le soleil qui me réveilla, je découvris alors l’interieur du cabanon, il était petit certe, en bois. Il y avait un petit lit fait d‘un matelas mis sur une palet en bois; une cuisinière qui fonctionnait au feu, elle était très jolie; et une armoire avec le nescéssaire pour vivre, elle était imposante. Emmy et Adam avait dormir dans le lit. Ce matin là Emmy cuisinai des œuf brouillé, je n’en raffolais pas mais c’était sûrement meilleur que de manger des brochettes au petit déjeuner.
- Bonjour Abbie, me salua Emmy
- Salut, bien dormit ? Lui demandai-je.
- Oui, tu as faim ?
Cela se voyait qu’elle avait bien dormit car elle était toute contente, joyeuse et chantonnante. Bref on avait envi de la prendre dans les bras tellement qu’elle rayonnait.
-Bien sur, on a peut-etre oublié de manger pendant cinq heure hier, mais là j’ai très faim., dis-je.
A ce moment mon vente gargouilla et nous rigolâmes.
- Ha ha, ouai. Je ne sait pas comment on fait pour tenir cinq heure sans manger, répliqua Emmy.
- Quoi ?! Cinq sans manger ? S’écria Adam qui venait de débarquer.
- Nan plus je dirai, plus ou moins dix, dis-je, on a fait cinq heure de marche, mais je n’avait pas manger du tout, j’ai pris mon petit déjeuner à huit heure et demi et mon repas à sept heure du soir, lui répondis-je.
- Ouai, ta raison j’avai oublier sa. J’ai du faire a peu pres la même chose, approuva Emmy
- Hey les filles c’est pas raisonnable du tout ça.
- On en ai pas morte, n’en fait pas tout un drame non plus, on a même pas eu faim et se n’était pas non raisonnable pour Abbie de venir.
-Nan du tout, affirmai-je.
-Si vous le dites, en conclue t-il.
Sur ce, je me leva et alla manger les œufs brouiller, je les ai aprécer à leur juste valeur. Emmy cuisine vraiment bien.
-C’est très bon, lui dis-je
-Merci, mais c’est pas très dur.
-Peut-être mais les miens étaient déguelasse.
-C’est par ce que se sont pas de bon œufs, il sont naturel les notre.
-En ville ils sont artificielle, intervint Adam
-Tout y est, précisa Emmy.
Je me souvins comment tout était superficielle, sans réelle vie. J’avais hâte de découvrir comment ils vivaient. Vois si leur monde n’était pas superficielle, mais réel. Je pose alors la première question qui me vint à l’esprit.
- Dans combien de temps on reprend la route ?
- Dans pas longtemps, quand on est pres, me répondis Emmy.
Un quart d’heure on était en route, la vue était magnifique. On avançais plus vite qu’avec Emmy, nous étions tous presser d’arriver. Je me dmandais à quoi pouvait bien ressembler la communauté. Je l’imaginais surtout ancienne. Mais j’esperais qu’elle ne ressemblerai pas à ça. J’avais peut-être quitter la ville, mais je ne voulait pas arriver dans un village du quinzième siècle et vivre à la dur. Ce n’était pas pour moi, la ferme, les cochons, vaches et physiquement je n’était pas forte donc je n’aurait jamais pu travailler dans les champs.
La journée fut longue et éprouvante, ce jour là on a manger à des heures régulière. En fin d’après midi nous étions arrivé au sommet de la deuxième montagne. La vue était très belle on pouvait apercevoir le npied de la montagne et il avait quelques chevaux dans la plaine. A ce moment, avec cette vue, je ne regrettais pas du tout d’être partis. Je regardais vers la droites on aurait dis une grande route vert, elle montais vers le nord, on y voyait une bande plus foncé de vert. Cela devait être le début de la forêt, mais c’était bien à une journée de marche.
Sur cette montagne il n’y avait pas de cabanon. Je demanda alors à Emmy et Adam où nous allions dormir.
-Heu, j’ai une question. Où on va-t-on dormir ?
-Ba ici, en plus on a de la chance aujourd’hui il ne fais pas très froids.
-Ouaiff
-De toute manière tu ne t’attendais pas a dormir dans une cabane le jours de ton départ ? Me demanda Emmy, je fis un signe négatif de la tête. Donc cela ne te tuera pas de dormir sur l’herbe, en conclue Emmy.
-Non ta raison, et l’herbe sera surement plus confortable que le sol de la cabane.
-Oh arrête de te plaindre, me rouspéta Adam en me faisant une frappe dans le dos.
Nous mangeâmes ensuite, pareil que notre dîner de la veille avec Emmy. On passa la nuits à ce raconter des histoires mais malheureusement je n’en avais aucune, j’écoutais donc leur Histoires sur eux ou autre, et lorsqu’ils me posaient des question j’y répondais. Il y a quelque histoire que je n’écoutais pas vraiment, mais il y en a une qui ma plue, celle sur l’arrivé de Adam.
-Quand je suis arrivé à New Liberty, je devait avoir dix ans, j’avais trouvé ça vraiment fabuleux. Toutes ces maisons, c’était très différent de la ville, et je me croyais dans un film.
Je m’imagina alors encore mon arrivé, pour la vingtième fois ou plus. Je me voyais descendre du cheval, traverser la courte forêt, que je poussai les buissons et découvrit la communauté.
J’avais aussi accroché à l’histoire de Emmy racontant sa première sortie hors de la communauté
- C’était une sortie avec l’école, j’avais sept ans environ, et je sortais pour la première fois, je découvrais un autres monde pour dire. Le paysage y étais différent, sauvage. Il étais comme celui en Bas de la montagne.
Je tournai ma tête alors à ce moment vers le pieds de la montagne et la pleine.
-Je sentis plein d’émotions me traverser, la joie, la peur, continua-t-elle.
Je me rappela alors ce que j’avais ressentie quand je marchais sur la montagne, et me retournai pour apercevoir le paysage, je n’avait pas réussi à définir ce que je ressentais, parce que je n’avais jamais ressentis ça auparavant.
Nous nous couchâmes lorsqu’il n’y avait plus rien à raconter d’intéressant. Je m’endormis en repensant à tous ce qu’ils avaient dis, en me visionnant le paysage que j’avais vus aujourd’hui, et comme chaque nuit en imaginant les paysages que je verrais plus tard.
Comme le jours dernier, ce fus le soleil qui me réveilla. Mais ce jour là, le réveille était différent, je me serais cru dans un rêve. Le regardais et vis de l’herbe et des buisson. L’herbe était mouillée, c’étais la rosée su matin, je trouvais sa très jolie. Je me sentais bizarre comme si on m’avait abandonnée en pleine nature, sauf que j’aperçu Emmy et Adam a côté, ils étaient enlacer.
Je m’étirais longuement, jusqu’à retrouver tout mes membres. Je conta plais le ciel pendant quelque minutes, il y avait peu de nuages, c’étais clair. Je me levai pour allée au petit coins derrière un buisson. Quand je revins Adam et Emmy étaient là, debout.
-Salut Abbie, me salua Adam
-Coucou Abbie, me salua de même Emmy
-Coucou, tu es en forme aujourd’hui,
-Normal, c’est notre dernier jour normalement, et on va monté à cheval.
-J’espère aussi que c’est notre dernier jour.
-J’espère que vous n’avez pas faim par ce que l’on va pas manger pour le déjeuner.
Emmy et moi le regardâmes un moment, puis nous nous regardâmes et rigolâmes. Hey ! On avait vécu dix sans manger. Adam en se souvenant de cette péripétie nous dit :
- Ha oui c’est vrai. Aller on ramasse nos affaire.
C’est se que nous fîmes, nous partîmes lorsque nous avions eu fini de ramassé nos sac de couchage et notre reste d’équipement de survie en pleine nature.

L'histoire est pas mal!! Elle me fait penser à la serie Uglies. Mais c'est pas mal!! Fait quand même attention aux répétitions.
Alors bonne continuation!

Oui, la répétition c'est un assez gros problem pour moi... Du coup mon texte deviens lourd, je sais bien, mais j'ai du mal a éviter cela. Ces chapitre je l'ai est retravailer, et mes dernier chapitre, je les est écrit suivant ce qui me passais par la tête je sais pas si c'est mieux a lire ou pas.
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