Alors voilà, j'ai enfin terminé le prologue (bon bien sur il y a encore un million de détail à modifier mais je voulais que vous le lisiez pour me dire se que vous en pensez, se que je dois améliorer, les fautes d'orthographes, etc.) Si vous détestez dites le moi aussi!!!
Le jour comme la nuit
Le soleil comme la lune
la vie comme la mort
le yin comme le yang...
Ils sont l'oposé :
un ange et un démon
Prologue:
Depuis le début des temps, le monde est peuplé d’horreur, de morts. Les humains vont de catastrophes en catastrophes, il y a des guerres, du sang. Les démons ont pris une partie du pouvoir, Satan est leur chef. Il ne fait rien pour arrêter ce monde qui va droit en enfer, il les encourage. Ces esprits de Lucifer règnent sur les humains, ces humains si naïfs, ils ne se rendent même pas compte qu’ils vont droit à leurs pertes. Néanmoins, des anges refusent de laisser le mal s’installer, ils se battent. Beaucoup périssent, mais jamais, ils ne perdent courage. Arielle, l’ange solitaire, aide à combattre les démons invisibles. C’est l’ange gardien des Archanges.
Les anges et les démons peuvent se réincarné dans un humain. On ne peut pas les différencier des mortels, sauf s’ils sont le bien suprême ou le mal total. Certains vivent une vie tranquille dans une station balnéaire, d’autres créent des associations pour aider des personnes qui n’ont pas à manger ou contre le réchauffement climatique et, la plus part des démons, font des attentats ou des guerres. Ils vivent un siècle, se reposent dans l’espace temps pendant cent ans puis, ils renaissent. Les anges humains n’ont pas d’ailes, et c’est pareil pour les démons, ils n’ont pas de cornes ni de queues. Ils ont des corps humains.
Un jour de printemps, Solène, c’était le nom que l’ange Arielle avait choisi pour sa 14ème réincarnation, était à Rome, la capitale du catholicisme. Elle cherchait l’ange Gabriel, cela faisait deux ans qu’elle allait d’indice en indice et tout ces indices la menait à Rome. Elle avait des questions à lui poser sur sa vie antérieure et sur son avenir. Depuis ces passé deux mille ans, elle ne savait toujours pas quel était son rôle sur terre. Elle avait déjà beaucoup aidé ; Solène avait récemment crée une association contre le sida et fait un voyage en Afrique du sud pour offrir des vaccins. Tout au long de ses vies elle avait donné son cœur pour le bien de tous. Mais elle n’était pas satisfaite. Ce matin là, Solène dégustait de savoureux croissants au chocolats et buvait un café italien dans un joli café du nom « Dal caffè della Pace ». Quand les passant la regardait, il ne se doutait pas qu’au lieu de 25ans, elle devait en avoir environ 2000. Elle portait une robe blanche bustier, un ruban noir lui serrait la taille. Comme il faisait encore frisquet, cette belle jeune femme avait une petite jaquette noir qui lui arrivait jusqu’au coude. Ces cheveux était attachés dans un magnifique chignon et quelques mèches roulait le long de sa joue. Le tout accompagné de sandales blanches. Il y avait encore peu de monde sur la route principale. Elle avait remarqué qu’un homme, un bel homme aux cheveux blond foncé la regardait depuis qu’elle s’était assise, il la dévorait des yeux. Elle savait qu’elle était belle, mais jamais un homme ne l’avait regardé pareillement. Il se leva et se dirigea vers elle.
-buongiorno signorina… ? Parlate English ? français ?
-Je parle français et je m’appelle Solène. Et vous, comment vous appelez-vous ? Elle disait cela en souriant.
-Je m’appelle Luciano, Lucien en français. J’habite ici, à Rome. Puis-je m’assoir ? demanda-t-il en désignant la chaise en face de Solène.
Son bel accent l’a charma et qu’il était beau. Elle accepta.
-Je viens de Genève, en Suisse. Elle réfléchit un instant, devait-elle ou non lui demander s’il connaissait l’ange Gabriel ? Sont choix fut fait. Elle ne perdait rien à lui demander. Cela faisait déjà trop longtemps qu’elle cherchait Gabriel. En fait, je suis là depuis une semaine, je cherche quel qu’un. Je cherche un homme, un vieil homme, je pense qu’il se consacre à la religion.
-Vous pensez ? Dit-il en riant.
Solène rougit, le « je pense qu’il se consacre à la religion » paraissait suspect. Elle n’aurait jamais du lui parler de Gabriel.
-Je voulais dire que ça fait très longtemps que je ne l’ai plus vu.
-Je vous embêtais. Mais pour votre question, je ne sais pas trop… peut-être le pape. dit-il en riant.
Mais bien sûr ! Gabriel était pape actuel. Comment n’y avait-elle pas pensé ! En y réfléchissant bien, le pape avait la carrure de l’ange. Elle lâcha un soupir de satisfaction. Elle l’avait enfin retrouvé.
-Veuillez m’excusez. Dit-elle en se levant. Je reviens tout de suite. Par politesse, Lucien se leva. Solène se dirigea vers le barman et lui demanda où elle pouvait trouver une cabine téléphonique. Il lui montra le chemin. Elle chercha la lettre V pour le Vatican et composa le numéro.
-Bonjour, vous avez été reliez au répondeur téléphonique du Vatican. Veuillez laissez votre message après le bip sonore et nous vous rappellerons le plus vite possible en suivant votre requête . A bientôt. Secrétariat du Vatican.
-Oui bonjour, j’aimerais transmettre un message au pape lui-même : dites lui que je suis Solène, la descendante d’Arielle il me reconnaitrera, nous avons travaillé ensemble il y a quelques année, je suis sur qu’il se souvient de moi. J’aurais quelques questions à lui posé. Merci. Il peut me rappeler au Parco dei Principi Grand Hotel & Spa. Sous le nom de Solène Perny.
Elle raccrocha satisfaite et retourna vers sa table. Luciano n’était plus là, mais il avait laissé un petit mot :
Pour Mlle Solène.
Je suis désolé, j’ai une affaire pressante et je dois partir. Je vous invite à diner se soir.
Veuillez me rappeler au numéro ci-dessous pour m’avertir si vous pouvez venir.
Je vous remercie, Luciano.