Dans des pages brèves et denses, l'écrivain et peintre anglais Fred Uhlman traite toute la complexité et l'ambiguïté de la conscience humaine. L'ouvrage a bouleversé des générations de lecteurs.
La première fois que j'avais lu ce livre, c'était en Troisième et aujourd'hui, en Terminale, j'avais envie de retenter l'expérience. Que dire à part qu'une fois de plus, j'ai adoré me plonger dans ce roman fort et émouvant. J'ai compris quelques détails que je n'avais pas vraiment pu capter lors de ma Troisième, j'ai apprécié les passages plus "poètiques". J'ai trouvé que la fin n'était pas si gachée que ce que l'on m'avait dit et au contraire, elle est vraiment bien. J'ai aimé le fait qu'il veuille savoir ce qui est arrivé à son ami avec qui il entretenait une relation assez ambigüe, à mon avis, sans vraiment oser regarder dans le fascicule. Finalement, j'ai vraiment apprécié ce court roman. J'hésite encore à lire la suite, La lettre de Conrad.